Baromètre bloqué, thermomètre brisé, une bourrasque insistante et beaucoup trop de basses pressions…
Voilà les raisons de mon absence prolongée.
Je reviens, résolument décidé à ne plus me congédier de mon propre bulletin quotidien.
Parce que si la météo du dehors est de saison – et je ne parle pas du début de gros temps à l’UMP, ni des averses de morosité du gouvernement, ni de la Zlatan-dépendance du ciel footballistique Parisien, ni de la dépression Mital, ni de l’élévation de température du désaroi général – ce qui compte vraiment, c’est bien la météo intérieure…
Depuis que j’ai croisé la douce démbulation d’un joli petit nuage, je navigue avec lui et je n’ai pas l’intention d’en descendre de si tôt.
Les prochains billets seront donc très ensoleillés.
De toute façon.
Et je ferai tout pour que ce soit contagieux.
« Donner est un plaisir plus durable que recevoir. Car celui des deux qui donne est celui qui se souvient le plus longtemps »
Chamfort
Quelle belle météo…