La mienne n’a pas grossie. Pas besoin de la faire opérer. Donc je vais bien.
Pas d’épargne salariale non plus. Du coup, pas de souci pour savoir comment je vais la dépenser. Nickel.
Pas plus amateur de Daft Punk que ça. En conséquence, ignorer leurs visages ne me pose aucun problème. Ouf !
Je ne participe pas au tirage au sort de la Coupe du Monde. Alors je vais très bien dormir ce soir. Youpi !
Je me suis levé très tôt. Café et cigarette sur la terrasse. Dans la fraicheur du matin. C’est cool.
Je n’habite pas Bangui. Et ça ne tire pas à l’arme lourde dans ma rue. Parfait.
Fin du chantier vendredi. Normalement. Retour à un rythme plus détendu. Génial.
Le PSG n’est pas invincible. Battu hier soir. En parfait Girondin (au sens historico-révolutionnaire du terme), je dis bravo.
Dans 21 jours, le Père Noël sera passé. Me fera plus chier à me réveiller avec le bruit de son traineau et de ses rennes. Bien peu discret les rennes. À moins que cette année, il choisisse des lamas, histoire de surfer sur l’événement local de cette fin d’année. À vrai dire, je m’en fous.
Après, il y a la Saint Sylvestre. C’est aussi l’anniversaire d’une personne proche. Happy Birthday bientôt alors.
Hier, un mot, un seul, venu de bien loin, a éclairé ma soirée.
Ma nuit aussi. Et sans doute les journées et les nuits à venir.
Il y a des jours, comme ça, où rien ne va mal.
Où tout va bien.
Je vais très bien.
Et je voulais juste le partager.
Avec vous tous.
« Le bonheur, ce n’est pas seulement la tangente d’une accumulation positive. C’est aussi la soustraction des petites contrariétés quotidiennes dont le produit est une journée de merde au carré. »
Léo Myself (d’après Marcel Einstein, le cousin de l’autre)